28/12/2011
Happy New Year - Bonne Année 2012
Libellés :
Album,
artistes,
chanson,
info,
mixtape,
Motown,
on air,
playlist,
playlist lien/site,
record label,
Songs from Detroit,
soul revival,
Tv show,
video,
Vidéo,
youtube
19/12/2011
15/12/2011
09/12/2011
08/12/2011
06/12/2011
02/12/2011
28/11/2011
10 000 pages vues
Songs From Detroit a dépassé la barre symbolique des 10 000 pages vues,c'est à vous que je le dois.
Merci ! aux nombreux visiteurs venus du monde entier(en vrac:France et Dom-Tom, États-Unis, Maroc Belgique, Canada, Inde, Russie, Suisse, Royaume-Uni....et tous les autres, soit plus de 50 pays)
Merci à tous pour vos visites régulière et vos petits messages.
27/11/2011
24/11/2011
23/11/2011
It's Motown Time
Jeudi 24 Novembre 2011 , I'ts Motown Time sur Google +
Une immense playlist consacré à la Motown avec Marvin Gaye The Supremes, The Four Tops, The Temptations, Martha and The Vandellas.....
https://plus.google.com/u/0/109781397685859387425/posts
Don't miss !!!!
Une immense playlist consacré à la Motown avec Marvin Gaye The Supremes, The Four Tops, The Temptations, Martha and The Vandellas.....
https://plus.google.com/u/0/109781397685859387425/posts
Don't miss !!!!
22/11/2011
17/11/2011
15/11/2011
09/11/2011
02/11/2011
31/10/2011
23/10/2011
06/10/2011
04/10/2011
Holland -Dozier - Holland
Dans l'univers de la Motown le trio Holland -Dozier - Holland est un incontournable .
Je vous propose de découvrir leur histoire.
Source:http://www.lamusiquepourtoujours.net
13/09/2011
03/09/2011
05/07/2011
01/07/2011
28/06/2011
27/06/2011
24/06/2011
23/06/2011
The Temptations
J'ai eu beaucoup de mal à trouver une biographie sur The Temptations, en voici une écrite par Loïc Picaud (rédacteur en chef chez Music Story) en 2010 pour Music Story.
Série de hits
Avec d'autres succès du Calibre de « It's Growing », « Since I Lost My Baby » ou « Don't Look Back », The Temptations atteint son premier âge d'or en délivrant une soul aux arrangements sophistiqués, enrichie par les harmonies vocales des cinq protagonistes et ponctuée de chorégraphies millimétrées. Poule aux oeufs d'or de la compagnie Motown et pendant masculin de The Supremes, l'ensemble vocal accompagné en studio et sur scène par des musiciens hors-pair (The Funk Brothers) accomplit une impressionnante série de hits concoctés par Norman Whitfield et le Triumvirat Holland-Dozier-Holland : « Get Ready », « Ain't Too Proud To Beg », « Beauty's Only Skin Deep », « (I Know) I'm Losing You » en 1966 ; « All I Need », « You're My Everything » et « I Wish It Would Rain » en 1967. David Ruffin, au coude à coude avec Eddie Kendricks, est la voix principale des succès du groupe qui soigne ses albums The Temptations Sing Smokey et The Temptin' Temptations (1965), With A Lot O' Soul (1967) et Wish It Would Rain (1968).
Soul psychédélique
Irrités par le comportement de plus en plus difficile de David Ruffin (dépendant à la cocaïne), les quatre autres Temptations parviennent à le virer au profit de Dennis Edwards, ex-The Contours. Après deux albums avec Diana Ross & The Supremes (et le hit « I'm Gonna Make You Love Me »), The Temptations sent le vent venir du rock psychédélique par la voie du producteur Norman Whitfield. Sorti en octobre 1968, « Cloud Nine » symbolise ce changement vers des riffs de guitare acides, une rythmique plus lourde et les textes orientés vers des Messages sociaux et politiques de « Runaway Child, Running Wild » (n°1), « I Can't Get Next to You », « Psychedelic Shack », « Ball of Confusion (That's What the World Is Today) » ou l'hymne anti-Guerre du Vietnam, « War ». En 1970, des problèmes de santé récurrents conduisent Eddie Kendricks à quitter ses acolytes après l'ultime « Just My Imagination » et l'album Sky's the Limit, bientôt suivi par Paul Williams. Ils sont remplacés par Damon Harris et Richard Street, tandis que Paul Williams se suicide deux ans après.
Temptations 2010
Les départs successifs des chanteurs ont donné naissance à différents groupes vocaux tels Ruffin, Kendricks & Edwards, Damon Harris avec Dennis Edwards ou Glenn Leonard, Richard Street's Temptations voire The Legendary Lead Singers of the Temptations. En 2010, la formation qui fête ses cinquante ans de succès par un tour du monde et la sortie de l'album Still Here est composée d'Otis Williams, Ron Tyson, Terry Weeks, Joe Herdon et Bruce Williamson (successeur de G. C. Cameron). Le 30 mai 2010, Ali-Ollie Woodson meurt d'une leucémie.
Epitomé du groupe vocal des années soixante, The Temptations a marqué de façon indélébile la musique soul par une série de hits, des harmonies vocales à faire frémir et des chorégraphies impeccables. La formation menée par David Ruffin, Eddie Kendricks et Otis Williams fait les beaux jours de Tamla Motown en créant des tubes comme « My Girl » (1965), « Ain't Too Proud To Beg » (1966), « (I Know) I'm Losing You » (1968) ou « I Wish It Would Rain » (1968). A partir de 1969, le style de The Temptations atteint son apogée grâce aux productions de Norman Whitfield symbolisées par un virage psychédélique, de « Cloud Nine » à « Papa Was a Rolling Stone » (1972) en passant par « Psychedelic Shack » et « Ball of Confusion » (1970). Au fil des ans, les départs et changements de membres successifs ont raison du groupe qui ne parvient plus à coller à son époque malgré les tentatives funk, rock et disco. Vivant principalement sur son glorieux passé, The Temptations - ou ce qu'il en reste - continue néanmoins à se produire de par le monde avec un groupe comportant un seul membre original. En 2011, la légendaire formation fête ses cinquante ans d'existence.
The Temptations est sans conteste le plus important groupe vocal De La Soul music. Son histoire commence il y a plus d'un demi-siècle à Detroit, dans le Michigan, quand se rencontrent les membres de deux groupes distincts, The Primes et The Distants : le ténor Eddie Kendricks, Paul Williams et Kell Osborne pour les premiers ; le baryton Otis Williams, Elbridge Bryant et Melvin Franklin (né David English) pour les seconds, originaires d'Alabama.
Performance vocale
Réunis sous la bannière The Elgins après le départ de Kell Osborne, les cinq chanteurs optent rapidement pour un nouvel intitulé, The Temptations, à la signature du contrat avec le label bourgeonnant Tamla Motown en 1961. Plusieurs simples consécutifs sortent avant un premier succès, « Dream Come True », en 1962. Viré pour avoir agressé l'un de ses comparses, Elbridge Bryant cède sa place à David Ruffin en 1964 (puis meurt d'une cirrhose en 1975). L'année suivante paraît le premier tube du groupe, écrit et produit par Smokey Robinson, « The Way You Do The Things You Do », rapidement suivi par le classique « My Girl », n°1 instantané des deux côtés black et pop des charts américains.
The Temptations est sans conteste le plus important groupe vocal De La Soul music. Son histoire commence il y a plus d'un demi-siècle à Detroit, dans le Michigan, quand se rencontrent les membres de deux groupes distincts, The Primes et The Distants : le ténor Eddie Kendricks, Paul Williams et Kell Osborne pour les premiers ; le baryton Otis Williams, Elbridge Bryant et Melvin Franklin (né David English) pour les seconds, originaires d'Alabama.
Performance vocale
Réunis sous la bannière The Elgins après le départ de Kell Osborne, les cinq chanteurs optent rapidement pour un nouvel intitulé, The Temptations, à la signature du contrat avec le label bourgeonnant Tamla Motown en 1961. Plusieurs simples consécutifs sortent avant un premier succès, « Dream Come True », en 1962. Viré pour avoir agressé l'un de ses comparses, Elbridge Bryant cède sa place à David Ruffin en 1964 (puis meurt d'une cirrhose en 1975). L'année suivante paraît le premier tube du groupe, écrit et produit par Smokey Robinson, « The Way You Do The Things You Do », rapidement suivi par le classique « My Girl », n°1 instantané des deux côtés black et pop des charts américains.
Série de hits
Avec d'autres succès du Calibre de « It's Growing », « Since I Lost My Baby » ou « Don't Look Back », The Temptations atteint son premier âge d'or en délivrant une soul aux arrangements sophistiqués, enrichie par les harmonies vocales des cinq protagonistes et ponctuée de chorégraphies millimétrées. Poule aux oeufs d'or de la compagnie Motown et pendant masculin de The Supremes, l'ensemble vocal accompagné en studio et sur scène par des musiciens hors-pair (The Funk Brothers) accomplit une impressionnante série de hits concoctés par Norman Whitfield et le Triumvirat Holland-Dozier-Holland : « Get Ready », « Ain't Too Proud To Beg », « Beauty's Only Skin Deep », « (I Know) I'm Losing You » en 1966 ; « All I Need », « You're My Everything » et « I Wish It Would Rain » en 1967. David Ruffin, au coude à coude avec Eddie Kendricks, est la voix principale des succès du groupe qui soigne ses albums The Temptations Sing Smokey et The Temptin' Temptations (1965), With A Lot O' Soul (1967) et Wish It Would Rain (1968).
Soul psychédélique
Irrités par le comportement de plus en plus difficile de David Ruffin (dépendant à la cocaïne), les quatre autres Temptations parviennent à le virer au profit de Dennis Edwards, ex-The Contours. Après deux albums avec Diana Ross & The Supremes (et le hit « I'm Gonna Make You Love Me »), The Temptations sent le vent venir du rock psychédélique par la voie du producteur Norman Whitfield. Sorti en octobre 1968, « Cloud Nine » symbolise ce changement vers des riffs de guitare acides, une rythmique plus lourde et les textes orientés vers des Messages sociaux et politiques de « Runaway Child, Running Wild » (n°1), « I Can't Get Next to You », « Psychedelic Shack », « Ball of Confusion (That's What the World Is Today) » ou l'hymne anti-Guerre du Vietnam, « War ». En 1970, des problèmes de santé récurrents conduisent Eddie Kendricks à quitter ses acolytes après l'ultime « Just My Imagination » et l'album Sky's the Limit, bientôt suivi par Paul Williams. Ils sont remplacés par Damon Harris et Richard Street, tandis que Paul Williams se suicide deux ans après.
Ultimes succès
L'année 1972 est celle du renouveau pour The Temptations qui, après le hit « Superstar (Remember How You Got Where You Are) », réussit un tour de force avec l'énorme succès de « Papa Was a Rollin' Stone ». La pièce ramenée de trente-trois à sept minutes culmine dans les charts pop (n°1) et devient un morceau incontournable pour les DJ. Elle apporte au groupe un deuxième Grammy Award. L'album Masterpiece (1973) signale l'apogée et le déclin d'une formation en proie à diverses tensions avec son producteur. En 1975, l'album A Song for You (avec le hit « Happy People » et le guitariste invité Eddie Hazel) inaugure une nouvelle période. Les trois albums suivants, sans hits, voient le remplacement de Damon Harris par Glenn Leonard. Fin 1976, Louis Price succède à Dennis Edwards et The Temptations migre vers Atlantic. Cette formation connaît un hit avec « Power » en 1981.
L'enregistrement de l'album Reunion produit par Rick James et sorti en avril 1982, marque une amélioration grâce aux retours de David Ruffin, Eddie Kendricks et Dennis Edwards. L'embellie est de courte durée et The Temptations a du mal à suivre son époque après s'être essayé au disco et au rock. Les chanteurs se suivent mais la formule a tendance à se répéter : Ron Tyson domine l'album Back to Basics en 1983, Ali-Ollie Woodson est prépondérant sur Truly for You (et le hit « Treat Her Like a Lady ») en 1984, Dennis Edwards est réembauché pour Together Again en 1987...puis évincé l'année d'après.
Décès en série
Plus grand groupe soul de l'histoire, The Temptations est célébré au Rock and Roll Hall Of Fame le 18 janvier 1989. Deux ans après, le 1er juin 1991, il perd l'une de ses figures historiques, David Ruffin, mort d'une overdose de cocaïne. Le 5 octobre 1992, c'est au tour d'Eddie Kendricks de succomber à un cancer du poumon. La série noire continue après le départ de Richard Street (1993) par le décès de Melvin Franklin le 23 février 1995, au début des séances de l'album For Lovers Only. Le groupe mené par Otis Williams, unique membre originel, survit tant bien que mal, de tournées et concerts de Gala en enregistrements sans relief : Phoenix Rising en 1998, Ear-Resistable en 2000 (séparés par un mini-feuilleton de la NBC), Legacy dernier album pour Motown en 2004, Reflections en 2006 et Back to Front en 2007.
L'année 1972 est celle du renouveau pour The Temptations qui, après le hit « Superstar (Remember How You Got Where You Are) », réussit un tour de force avec l'énorme succès de « Papa Was a Rollin' Stone ». La pièce ramenée de trente-trois à sept minutes culmine dans les charts pop (n°1) et devient un morceau incontournable pour les DJ. Elle apporte au groupe un deuxième Grammy Award. L'album Masterpiece (1973) signale l'apogée et le déclin d'une formation en proie à diverses tensions avec son producteur. En 1975, l'album A Song for You (avec le hit « Happy People » et le guitariste invité Eddie Hazel) inaugure une nouvelle période. Les trois albums suivants, sans hits, voient le remplacement de Damon Harris par Glenn Leonard. Fin 1976, Louis Price succède à Dennis Edwards et The Temptations migre vers Atlantic. Cette formation connaît un hit avec « Power » en 1981.
L'enregistrement de l'album Reunion produit par Rick James et sorti en avril 1982, marque une amélioration grâce aux retours de David Ruffin, Eddie Kendricks et Dennis Edwards. L'embellie est de courte durée et The Temptations a du mal à suivre son époque après s'être essayé au disco et au rock. Les chanteurs se suivent mais la formule a tendance à se répéter : Ron Tyson domine l'album Back to Basics en 1983, Ali-Ollie Woodson est prépondérant sur Truly for You (et le hit « Treat Her Like a Lady ») en 1984, Dennis Edwards est réembauché pour Together Again en 1987...puis évincé l'année d'après.
Décès en série
Plus grand groupe soul de l'histoire, The Temptations est célébré au Rock and Roll Hall Of Fame le 18 janvier 1989. Deux ans après, le 1er juin 1991, il perd l'une de ses figures historiques, David Ruffin, mort d'une overdose de cocaïne. Le 5 octobre 1992, c'est au tour d'Eddie Kendricks de succomber à un cancer du poumon. La série noire continue après le départ de Richard Street (1993) par le décès de Melvin Franklin le 23 février 1995, au début des séances de l'album For Lovers Only. Le groupe mené par Otis Williams, unique membre originel, survit tant bien que mal, de tournées et concerts de Gala en enregistrements sans relief : Phoenix Rising en 1998, Ear-Resistable en 2000 (séparés par un mini-feuilleton de la NBC), Legacy dernier album pour Motown en 2004, Reflections en 2006 et Back to Front en 2007.
Temptations 2010
Les départs successifs des chanteurs ont donné naissance à différents groupes vocaux tels Ruffin, Kendricks & Edwards, Damon Harris avec Dennis Edwards ou Glenn Leonard, Richard Street's Temptations voire The Legendary Lead Singers of the Temptations. En 2010, la formation qui fête ses cinquante ans de succès par un tour du monde et la sortie de l'album Still Here est composée d'Otis Williams, Ron Tyson, Terry Weeks, Joe Herdon et Bruce Williamson (successeur de G. C. Cameron). Le 30 mai 2010, Ali-Ollie Woodson meurt d'une leucémie.
The Temptations reste un poids lourd de l'écurie Motown, malgré les multiples changements de membres, ils ont vendus un très grand nombre d'albums, un groupe mythique qui rassemble encore beaucoup de fans.
Pour découvrir The Temptations en musique:
22/06/2011
Motown 25 th Anniversary
En 1983, la Motown convainc de nombreux artistes partis faire des affaires ailleurs (Michael Jackson and The Jackson Five, Diana Ross, Marvin Gay) de revenir pour réaliser un concert évènement pour les 25 ans du label. Michael Jackson y présente pour la première fois son "moonwalk".
Le code d’intégration de la vidéo ne semble pas fonctionner avec certain navigateur
vous pouvez retrouver cette vidéo sur ce lien:
http://v.youku.com/v_show/id_XMTU2MjMzNjUy.html
21/06/2011
Mixtape 10
Mixtape 10
Au programme quelques jolies titres sortis des tiroirs secret de Tamla-Motown.
Plus de détails dans la section Mixtape de ce Blog.
Au programme quelques jolies titres sortis des tiroirs secret de Tamla-Motown.
Plus de détails dans la section Mixtape de ce Blog.
Découvrez la playlist Mixtape 10 avec The Temptations
19/06/2011
14/06/2011
13/06/2011
Roxie Ray
Âpres une apparition auprès du groupe The underbelly (elle collabora d'ailleurs à la sortis de leur album) dans une émission de radio de la BBC(une belle performance sur un titre de Michael Jackson), lui apporte une certaine renommée en Europe
Roxy à une présence unique aussi bien sur scène qu'au studio, sa voix est équilibré avec un magnifique grain soul et un vibrato digne de ses pères...
Aujourd'hui Roxy Ray se lance dans une carrière solo comme chanteuse et compositrice, une artiste complète(elle joue de la guitare et compose depuis l'age de 14 ans) que nous ne manquerons pas de suivre...
Pour découvrir Roxy Ray voici son Myspace:
http://www.myspace.com/roxieraymusic
10/06/2011
L'histoire de la Motown 1 ére Partie
L'histoire du label Motown racontée par votre serviteur...
Cette vidéo fait partis d'une série de vidéo relatant l'histoire de la Motown et comme toute les premières, veuillez excusé les petites fautes de syntaxe.
Cette vidéo fait partis d'une série de vidéo relatant l'histoire de la Motown et comme toute les premières, veuillez excusé les petites fautes de syntaxe.
09/06/2011
The Sound Of Motown
1965, l'occasion pour les heureux possesseurs de télévisions du Royaume-uni de découvrir le "son Motown".
Énorme!!!
C'est Dusty Springfield ( la jeune femme Blonde de la vidéo)chanteuse de Northern Soul, qui est a l'origine de cette édition spécial de l’émission Ready Steady Go!, intitulée The Sound of Motown, elle permet au public britannique de découvrir les artistes de la Motown .
08/06/2011
Deezer ----> musicMe
En raison des récentes restrictions d’écoute du site Deezer (qui abritait les Mixtapes de ce Blog)
5 heures par mois pour les inscrits et 5 titres pour les visiteurs!!!
Trop peut pour apprécier correctement une playslist.
J'ai donc décidé du transfert de la Mixtape vers le site musicMe.
Je cherche aussi une parade à la restriction d’écoute visiteur(vider les cookies, Proxy...?).
Merci encore pour vos nombreuses visites.
Fr3d
5 heures par mois pour les inscrits et 5 titres pour les visiteurs!!!
Trop peut pour apprécier correctement une playslist.
J'ai donc décidé du transfert de la Mixtape vers le site musicMe.
Je cherche aussi une parade à la restriction d’écoute visiteur(vider les cookies, Proxy...?).
Merci encore pour vos nombreuses visites.
Fr3d
Libellés :
info
07/06/2011
Tammi Terrell - Unsung(Documentary)
Voici un documentaire réalisé par TV one's sur Tammi Terrell.
Un jolie documentaire (en V.O désolé!) qui nous relate la vie de cette incroyable chanteuse partie trop tôt...
06/06/2011
Sam Cooke
C'est le 22 janvier 1931 à Clarksdale dans l'État du Mississippi,que Sam Cook voit le jour.
Dès son plus jeune age, il chante dans plusieurs formations de chant religieux et c'est à 19ans qu'il joint, avec honneur, la formation réputée des Soul Trirrers.
Le chanteur, qui a ajouté un « e » à son nom de scène, explose.Gagnant en maturité et en confiance au sein du groupe, il devient une star aux yeux de la communauté noire américaine. Cooke, pourtant, voit au delà de la sphère communautaire : ses premiers contacts avec l'industrie du disque et le succès du groupe lui ont donné l'envie de conquérir un public plus large encore. Ses aspirations sont pourtant incompatibles avec les normes de l'époque ; non seulement Sam est noir, mais il est surtout hors de question de s'émanciper du gospel et de la relation à Dieu qu'il entretient en tant que membre de la très croyante communauté afro-américaine.
C'est donc sous le pseudonyme de Dale Cooke qu'il enregistre Lovable, son premier single solo, en 1956. La supercherie est vite démasquée, et le ton « pop » du titre fait scandale. Art Rupe, le puissant producteur à la tête de Specialty Records (le label des Soul Stirrers), n'est pourtant pas hostile par principe à une carrière en solo de Cooke ; l'ambition du jeune chanteur et les divergences d'envies finissent par avoir raison de leur relation. Sam Cooke quitte le groupe et son label.
Le label Keen signe le jeune chanteur début 1957. L'affaire se révèle très vite bonne : Sam Cooke enregistre, sous son véritable nom cette fois, You Send Me. Le titre, figurant sur la face B de son premier single chez Keen (le label ayant mis en avant, par sécurité, sa reprise de Summertime), rencontre un succès fabuleux. Six semaines passées en tête des ventes R&B et, fait rare pour l'époque, plus grande des ventes pop pour 3 semaines amènent Cooke à sortir, début 1958, son premier album, éponyme.
Durant les deux années qu'il passe chez Keen,Sam Cooke commercialise 4 albums sur lesquels figurent nombre de ses œuvres les plus marquantes : You Send Me, évidemment, mais aussi Wonderful World, Only Sixteen, For Sentimental Reasons, Crazy she calls me. l'artiste, excellant dans l'écriture et l'interprétation des ballades, adopte une douceur dans le style dont il ne s'émancipera que rarement par la suite.
En 1960, gêné par les marges que lui impose Keen et alors que se multiplient les propositions alternatives, Cooke signe chez RCA Records. Ses premiers LPs témoignent de la particularité d'un chanteur tiraillé entre ses origines artistiques (gospel) et ses ambitieuses aspirations (pop). Il adopte un style musical bâtard, sorte de R&B mâtiné de mélancolie (My Kind of Blues, 1961), qu'il émaille pourtant parfois d'une énergie qui lui offre plusieurs tubes : Chain Gang, Twistin' the Night Away, et surtout Bring It on Home to Me.
L'année 1963 fait ainsi figure de rupture. Il enregistre cette année là son septième album pour RCA, Night Beat. L'œuvre surprend par son traitement instrumental, minimaliste, Cooke ayant décidé de mettre pour la première fois sa voix en avant. Le résultat est d'une efficacité frappante, la force émotive du blues désormais bien connu du chanteur étant sublimée par la puissance de son interprétation. Peu après, il enregistre un album live lors d'un concert à Miami ; accompagné par King Curtis et son groupe, le chanteur, par sa communion avec le public et son énergie, pose les jalons d'un nouveau genre dont on lui attribuera a posteriori la paternité : la soul.
Fin 1963, Sam Cooke est l'un des artistes noirs les plus populaires de tous les temps. L'aisance économique due au succès, alors exceptionnelle pour un afro-américain, lui permet d'envisager sérieusement l'indépendance totale dans la création artistique. Alors qu'il approche le métier de producteur, le chanteur empreint son travail du contexte socio-culturel de l'époque, particulièrement sensible à l'émergence d'un mouvement de la jeunesse poussé (notamment) par Bob Dylan et son Blowin' in the Wind. C'est ainsi qu'il écrit A Change is Gonna Come, considérée par beaucoup comme son chef-d'œuvre. Le titre figure sur le seizième album du chanteur, Ain't that Good News. C'est durant ces mêmes sessions que Cooke enregistre Shake, un titre pop résolument tourné vers le grand public.
C'est à ce moment, qui semblait annoncer un tournant de carrière, que Sam Cooke est mystérieusement retrouvé mort le 11 décembre 1964 dans un motel californien. L'enquête des autorités, impliquant la propriétaire de l'établissement et une prostituée, conclut officiellement à un meurtre en légitime défense. Le chanteur, furieux de la disparition de sa compagne d'un soir, aurait effrayé et violenté la responsable du motel à un point qu'elle fut excusée d'avoir usé de son arme à feu pour se protéger.
Le flou entourant le règlement de l'histoire a largement encouragé la polémique autour d'une mort qui choqua profondément la communauté afro-américaine.
Sam Cooke est enterré au cimetière de Forest Lawn, en Californie.
En 2005, l'écrivain Peter Guralnick explique sur une radio (et dans son livre) que Sam Cooke aurait été victime d'un complot à cause de son activité dans les mouvements des droits civiques.
Sam Cook reste un des pères fondateurs de la Soul Music, beaucoup d'artistes à travers le monde ont trouvés en lui et sa musique, une source d'inspiration et un modèle...
Même si certain dit avoir trouvés quelques explications à la disparition de Sam, sa mort reste un mystère.
Pour découvrir l'incroyable univers musical de Sam Cooke:
>Wonderful World - Sam Cook<
Dès son plus jeune age, il chante dans plusieurs formations de chant religieux et c'est à 19ans qu'il joint, avec honneur, la formation réputée des Soul Trirrers.
Le chanteur, qui a ajouté un « e » à son nom de scène, explose.Gagnant en maturité et en confiance au sein du groupe, il devient une star aux yeux de la communauté noire américaine. Cooke, pourtant, voit au delà de la sphère communautaire : ses premiers contacts avec l'industrie du disque et le succès du groupe lui ont donné l'envie de conquérir un public plus large encore. Ses aspirations sont pourtant incompatibles avec les normes de l'époque ; non seulement Sam est noir, mais il est surtout hors de question de s'émanciper du gospel et de la relation à Dieu qu'il entretient en tant que membre de la très croyante communauté afro-américaine.
C'est donc sous le pseudonyme de Dale Cooke qu'il enregistre Lovable, son premier single solo, en 1956. La supercherie est vite démasquée, et le ton « pop » du titre fait scandale. Art Rupe, le puissant producteur à la tête de Specialty Records (le label des Soul Stirrers), n'est pourtant pas hostile par principe à une carrière en solo de Cooke ; l'ambition du jeune chanteur et les divergences d'envies finissent par avoir raison de leur relation. Sam Cooke quitte le groupe et son label.
Le label Keen signe le jeune chanteur début 1957. L'affaire se révèle très vite bonne : Sam Cooke enregistre, sous son véritable nom cette fois, You Send Me. Le titre, figurant sur la face B de son premier single chez Keen (le label ayant mis en avant, par sécurité, sa reprise de Summertime), rencontre un succès fabuleux. Six semaines passées en tête des ventes R&B et, fait rare pour l'époque, plus grande des ventes pop pour 3 semaines amènent Cooke à sortir, début 1958, son premier album, éponyme.
Durant les deux années qu'il passe chez Keen,Sam Cooke commercialise 4 albums sur lesquels figurent nombre de ses œuvres les plus marquantes : You Send Me, évidemment, mais aussi Wonderful World, Only Sixteen, For Sentimental Reasons, Crazy she calls me. l'artiste, excellant dans l'écriture et l'interprétation des ballades, adopte une douceur dans le style dont il ne s'émancipera que rarement par la suite.
En 1960, gêné par les marges que lui impose Keen et alors que se multiplient les propositions alternatives, Cooke signe chez RCA Records. Ses premiers LPs témoignent de la particularité d'un chanteur tiraillé entre ses origines artistiques (gospel) et ses ambitieuses aspirations (pop). Il adopte un style musical bâtard, sorte de R&B mâtiné de mélancolie (My Kind of Blues, 1961), qu'il émaille pourtant parfois d'une énergie qui lui offre plusieurs tubes : Chain Gang, Twistin' the Night Away, et surtout Bring It on Home to Me.
L'année 1963 fait ainsi figure de rupture. Il enregistre cette année là son septième album pour RCA, Night Beat. L'œuvre surprend par son traitement instrumental, minimaliste, Cooke ayant décidé de mettre pour la première fois sa voix en avant. Le résultat est d'une efficacité frappante, la force émotive du blues désormais bien connu du chanteur étant sublimée par la puissance de son interprétation. Peu après, il enregistre un album live lors d'un concert à Miami ; accompagné par King Curtis et son groupe, le chanteur, par sa communion avec le public et son énergie, pose les jalons d'un nouveau genre dont on lui attribuera a posteriori la paternité : la soul.
Fin 1963, Sam Cooke est l'un des artistes noirs les plus populaires de tous les temps. L'aisance économique due au succès, alors exceptionnelle pour un afro-américain, lui permet d'envisager sérieusement l'indépendance totale dans la création artistique. Alors qu'il approche le métier de producteur, le chanteur empreint son travail du contexte socio-culturel de l'époque, particulièrement sensible à l'émergence d'un mouvement de la jeunesse poussé (notamment) par Bob Dylan et son Blowin' in the Wind. C'est ainsi qu'il écrit A Change is Gonna Come, considérée par beaucoup comme son chef-d'œuvre. Le titre figure sur le seizième album du chanteur, Ain't that Good News. C'est durant ces mêmes sessions que Cooke enregistre Shake, un titre pop résolument tourné vers le grand public.
C'est à ce moment, qui semblait annoncer un tournant de carrière, que Sam Cooke est mystérieusement retrouvé mort le 11 décembre 1964 dans un motel californien. L'enquête des autorités, impliquant la propriétaire de l'établissement et une prostituée, conclut officiellement à un meurtre en légitime défense. Le chanteur, furieux de la disparition de sa compagne d'un soir, aurait effrayé et violenté la responsable du motel à un point qu'elle fut excusée d'avoir usé de son arme à feu pour se protéger.
Le flou entourant le règlement de l'histoire a largement encouragé la polémique autour d'une mort qui choqua profondément la communauté afro-américaine.
Sam Cooke est enterré au cimetière de Forest Lawn, en Californie.
En 2005, l'écrivain Peter Guralnick explique sur une radio (et dans son livre) que Sam Cooke aurait été victime d'un complot à cause de son activité dans les mouvements des droits civiques.
Sam Cook reste un des pères fondateurs de la Soul Music, beaucoup d'artistes à travers le monde ont trouvés en lui et sa musique, une source d'inspiration et un modèle...
Même si certain dit avoir trouvés quelques explications à la disparition de Sam, sa mort reste un mystère.
Pour découvrir l'incroyable univers musical de Sam Cooke:
>Wonderful World - Sam Cook<
03/06/2011
01/06/2011
The Four Tops (2/2)
...1967, Holland-Dozier-Holland, en conflit permanent avec Gordy quittent Motown....
Pour les Four Tops – comme pour l’ensemble de leurs camarades de classe – la nouvelle est catastrophique : malgré la succession de nouveaux compositeurs au chevet du quatuor (Nickolas Ashford et Valerie Simpson ou Norman Whitfield), ce dernier a le plus grand mal à recouvrer le lustre d’antan. Néanmoins, 1970 le voit enregistrer un nouveau tube (« It’s All in the Game ») et d’étonnants albums de soul psychédélique, grâce entre autres à une collaboration ponctuelle du géant Smokey Robinson. Mieux encore : en 1971, c’est avec Renaldo Benson que Marvin Gaye compose l’historique « What’s Going On ».
Pour le reste (à savoir le quotidien), le groupe vit d’expédients, comme ces albums enregistrés en compagnie des Supremes (dont se distingue néanmoins une superbe version du « River Deep Mountain High » d’Ike et Tina Turner.
il fait même appel à des membres des Moody Blues comme choristes, afin de maintenir à un bon niveau leur carrière au Royaume-Uni.
ABC, Casablanca, Motown 3, Arista - La gestion
Lorsque Berry Gordy décide en 1972 le déménagement de sa compagnie à Los Angeles, les Four Tops restent fidèles au Michigan, et signent chez ABC-Dunhill. Confié aux bons soins d’une nouvelle équipe de compositeurs maison (Brian Potter et Dennis Lambert), le quatuor enchaînent de nouveau les succès (« Keeper of the Castle »), jusqu’au tarissement de la source en 1976.
Un nouveau label (Casablanca Records) leur offre un nouveau hit (« When She Was My Girl », en 1981). Le retour dans le giron de la Motown en 1983 n'a pas l’effet escompté, si ce n’est la mise sur pied de lucratives tournées, conjointement avec les Temptations, périples s’étalant parfois sur plus de trois années.
En 1986, Stubbs assure la voix de la plante carnivore dans le film La Petite Boutique des Horreurs.
Un nouveau label (Arista) permettra aux Four Tops d’atteindre une dernière fois les hautes places des hit-parades (« Indestructible », en 1988). La chanson « Loco in Acapulco » n’a alors plus grand-chose à voir avec la soul music.
Un seul être vous manque...
En 1990, les Four Tops sont honorés par le Rock and Roll Hall of Fame : le maître de cérémonie d’un soir s’appelle Stevie Wonder.
Le 10 juin 1997, Lawrence Payton décède d’un cancer du foie. Il était âgé de cinquante-neuf ans. Après une brève période en trio (sous l’appellation The Tops), il est remplacé l’année suivante par l’ex-membre des Temptations Theo Peoples. Il s’agit du premier changement dans un quatuor fidèle à son line-up originel depuis plus de quarante années.
En 1999, la faculté diagnostique un cancer chez Levi Stubbs : il est remplacé par Ronnie McNair. L’actualité du groupe se résume alors à quelques concerts, parfois agrémentés de la pathétique intrusion d’un Levi Stubbs en fauteuil roulant. Il décède de la maladie le 17 octobre 2008, après la disparition le 1er juillet 2005, d'Obie Benson, également des suites d’un cancer du poumon. C’est Roquel, propre fils de Lawrence Payton, qui est intronisé comme son successeur.
Trente apparitions dans les charts en huit ans, 35 albums, 200 concerts par an en fin de trajet, plus de quarante années de carrière et une importance égale, face à des ensembles comme les Temptations ou les Supremes, dans le développement d’une musique noire sophistiquée : les Four Tops ont si bien pris leur élan depuis les années soixante, qu’ils nous parviennent aujourd’hui, intacts, mélodieux, immortels.
Source: http://www.music-story.com/the-four-tops/biographie
Pour continuer la découverte musical des Four tops:
>Lost Without You:Motown Lost & Found - The Four Tops<
Pour le reste (à savoir le quotidien), le groupe vit d’expédients, comme ces albums enregistrés en compagnie des Supremes (dont se distingue néanmoins une superbe version du « River Deep Mountain High » d’Ike et Tina Turner.
il fait même appel à des membres des Moody Blues comme choristes, afin de maintenir à un bon niveau leur carrière au Royaume-Uni.
ABC, Casablanca, Motown 3, Arista - La gestion
Lorsque Berry Gordy décide en 1972 le déménagement de sa compagnie à Los Angeles, les Four Tops restent fidèles au Michigan, et signent chez ABC-Dunhill. Confié aux bons soins d’une nouvelle équipe de compositeurs maison (Brian Potter et Dennis Lambert), le quatuor enchaînent de nouveau les succès (« Keeper of the Castle »), jusqu’au tarissement de la source en 1976.
Un nouveau label (Casablanca Records) leur offre un nouveau hit (« When She Was My Girl », en 1981). Le retour dans le giron de la Motown en 1983 n'a pas l’effet escompté, si ce n’est la mise sur pied de lucratives tournées, conjointement avec les Temptations, périples s’étalant parfois sur plus de trois années.
En 1986, Stubbs assure la voix de la plante carnivore dans le film La Petite Boutique des Horreurs.
Un nouveau label (Arista) permettra aux Four Tops d’atteindre une dernière fois les hautes places des hit-parades (« Indestructible », en 1988). La chanson « Loco in Acapulco » n’a alors plus grand-chose à voir avec la soul music.
Un seul être vous manque...
En 1990, les Four Tops sont honorés par le Rock and Roll Hall of Fame : le maître de cérémonie d’un soir s’appelle Stevie Wonder.
Le 10 juin 1997, Lawrence Payton décède d’un cancer du foie. Il était âgé de cinquante-neuf ans. Après une brève période en trio (sous l’appellation The Tops), il est remplacé l’année suivante par l’ex-membre des Temptations Theo Peoples. Il s’agit du premier changement dans un quatuor fidèle à son line-up originel depuis plus de quarante années.
En 1999, la faculté diagnostique un cancer chez Levi Stubbs : il est remplacé par Ronnie McNair. L’actualité du groupe se résume alors à quelques concerts, parfois agrémentés de la pathétique intrusion d’un Levi Stubbs en fauteuil roulant. Il décède de la maladie le 17 octobre 2008, après la disparition le 1er juillet 2005, d'Obie Benson, également des suites d’un cancer du poumon. C’est Roquel, propre fils de Lawrence Payton, qui est intronisé comme son successeur.
Trente apparitions dans les charts en huit ans, 35 albums, 200 concerts par an en fin de trajet, plus de quarante années de carrière et une importance égale, face à des ensembles comme les Temptations ou les Supremes, dans le développement d’une musique noire sophistiquée : les Four Tops ont si bien pris leur élan depuis les années soixante, qu’ils nous parviennent aujourd’hui, intacts, mélodieux, immortels.
Source: http://www.music-story.com/the-four-tops/biographie
Pour continuer la découverte musical des Four tops:
>Lost Without You:Motown Lost & Found - The Four Tops<
31/05/2011
The Four Tops (1/2)
En voulant me documenter sur l'histoire des Four Tops je suis tombé sur cette biographie.
Fidèle et respectueuse de l'histoire du groupe, je la transcrit tel que son auteur(Christian Larrède)
la écrite.
Source: http://www.music-story.com/the-four-tops/biographie
Au début Les Four Tops se nommaient les Four Aims : formés à Detroit par le cousin du chanteur Jackie Wilson (Levi Stubbles dit « Stubbs », baryton, alors que tous les leaders du genre sont ténors), et ses copains de classe Abdul « Duke » Fakir, Renaldo « Obie » Benson et Lawrence Payton, ils signent en 1956 un contrat avec Chess Records et deviennent les Four Tops (afin d’éviter une confusion avec The Ames Brothers).
The Four Tops 1967
Ils se sont en fait tous rencontrés à une réception d’anniversaire et leur carrière est insufflée par le compositeur Roquel Davis, cousin de Lawrence Payton, qui deviendra le confrère de plume de Berry Gordy. Avec constance et dévouement, le quatuor enregistre, sept années durant (et davantage encore de labels), des disques couronnés d’un total insuccès. Tout au plus met-il à loisir le temps qui passe pour peaufiner sa présence scénique, réellement devenir professionnel (comme accompagnateur, par exemple, du chanteur Billy Eckstine), et à parfaire des chorégraphies millimétrées.
Motown, 1 - L'éclosion:
En 1963, Berry Gordy les convainc de rallier sa toute nouvelle équipe de la Motown, pour enregistrer… du jazz et être utilisés comme chœurs masculins sur les disques des Supremes. Généreux jusqu’à l’emphase, Berry Gordy leur offre alors une avance de quatre cents dollars…
L’année suivante, les compositeurs maison Holland-Dozier-Holland, ne sachant pas quoi faire de l’une de leurs compositions, la confient au quatuor : « Baby I Need Your Loving » est un hit. Les Four Tops oublient alors le jazz pour passer aux choses sérieuses et tentent, parfois en pure perte, de réitérer le parcours de leur tube initial. « I Can’t Help Myself (Sugar Pie, Honey Bunch) » devient toutefois leur premier n°1 (avril 1965) et le premier d’une longue liste de tubes (« It’s the Same Old Song »– adapté, en fidèle traduction, par Claude François sous le titre « C’est la même chanson » – « Something About You »).
Dès lors, les Four Tops constituent l’avant-garde armée de leur label et son archétype : mélodies sophistiquées, chant bâti sur le principe des questions-réponses, jeux entre chœurs féminins (assurés par les Andantes, choristes souvent subsidiaires des Supremes, lorsque Florence Ballard est trop ivre pour chanter) et masculins. Stubbs, qui n’a jamais enregistré de disque en nom propre, vocalise dans le droit fil de la tradition des prêcheurs de gospel, âpre et fiévreux et sa ferveur est compensée par la suavité des chœurs. Holland-Dozier-Holland prennent également l’habitude de composer pour le baryton qu’est Stubbs dans une tessiture de ténor, ce qui contraint le leader à forcer sa voix et à développer un caractère d’urgence dans son interprétation.
Motown, 2 - La douce routine du succès:
« Reach Out I’ll Be There » (de nouveau adapté en français par Claude François, sous le titre « J’attendrai »), constitue un nouveau sommet dans la carrière du groupe (août 1966) et est suivi du non moins impérial « Standing in the Shadows of Love ». « Bernadette » et les surprenantes adaptations d’artistes blancs, tels Tim Hardin (« If I Were a Carpenter ») ou du groupe pop baroque The Left Banke (« Walk Away, Renee »), permettent aux Four Tops de devenir le premier groupe masculin de la Motown en Grande-Bretagne (ils ne sont, aux Etats-Unis, supplantés que par les Temptations).
Brian Epstein, manager des Beatles, monte alors pour eux une tournée européenne. Mais la fin d’une époque est proche : à l’issue de l’année 1967, Holland-Dozier-Holland, en conflit permanent avec Gordy (naturellement au sujet du montant de leurs dividendes) quittent Motown.
Pour découvrir l'univers musical des Four tops:
>The Definitive Collection - The Four Tops<
Fidèle et respectueuse de l'histoire du groupe, je la transcrit tel que son auteur(Christian Larrède)
la écrite.
Source: http://www.music-story.com/the-four-tops/biographie
Au début Les Four Tops se nommaient les Four Aims : formés à Detroit par le cousin du chanteur Jackie Wilson (Levi Stubbles dit « Stubbs », baryton, alors que tous les leaders du genre sont ténors), et ses copains de classe Abdul « Duke » Fakir, Renaldo « Obie » Benson et Lawrence Payton, ils signent en 1956 un contrat avec Chess Records et deviennent les Four Tops (afin d’éviter une confusion avec The Ames Brothers).
The Four Tops 1967
Ils se sont en fait tous rencontrés à une réception d’anniversaire et leur carrière est insufflée par le compositeur Roquel Davis, cousin de Lawrence Payton, qui deviendra le confrère de plume de Berry Gordy. Avec constance et dévouement, le quatuor enregistre, sept années durant (et davantage encore de labels), des disques couronnés d’un total insuccès. Tout au plus met-il à loisir le temps qui passe pour peaufiner sa présence scénique, réellement devenir professionnel (comme accompagnateur, par exemple, du chanteur Billy Eckstine), et à parfaire des chorégraphies millimétrées.
Motown, 1 - L'éclosion:
En 1963, Berry Gordy les convainc de rallier sa toute nouvelle équipe de la Motown, pour enregistrer… du jazz et être utilisés comme chœurs masculins sur les disques des Supremes. Généreux jusqu’à l’emphase, Berry Gordy leur offre alors une avance de quatre cents dollars…
L’année suivante, les compositeurs maison Holland-Dozier-Holland, ne sachant pas quoi faire de l’une de leurs compositions, la confient au quatuor : « Baby I Need Your Loving » est un hit. Les Four Tops oublient alors le jazz pour passer aux choses sérieuses et tentent, parfois en pure perte, de réitérer le parcours de leur tube initial. « I Can’t Help Myself (Sugar Pie, Honey Bunch) » devient toutefois leur premier n°1 (avril 1965) et le premier d’une longue liste de tubes (« It’s the Same Old Song »– adapté, en fidèle traduction, par Claude François sous le titre « C’est la même chanson » – « Something About You »).
Motown, 2 - La douce routine du succès:
« Reach Out I’ll Be There » (de nouveau adapté en français par Claude François, sous le titre « J’attendrai »), constitue un nouveau sommet dans la carrière du groupe (août 1966) et est suivi du non moins impérial « Standing in the Shadows of Love ». « Bernadette » et les surprenantes adaptations d’artistes blancs, tels Tim Hardin (« If I Were a Carpenter ») ou du groupe pop baroque The Left Banke (« Walk Away, Renee »), permettent aux Four Tops de devenir le premier groupe masculin de la Motown en Grande-Bretagne (ils ne sont, aux Etats-Unis, supplantés que par les Temptations).
Brian Epstein, manager des Beatles, monte alors pour eux une tournée européenne. Mais la fin d’une époque est proche : à l’issue de l’année 1967, Holland-Dozier-Holland, en conflit permanent avec Gordy (naturellement au sujet du montant de leurs dividendes) quittent Motown.
Pour découvrir l'univers musical des Four tops:
>The Definitive Collection - The Four Tops<
Stevie Wonder - Documentary Hotter Then July(1980)
En 1980, une équipe de la BBC suit Stevie Wonder afin de réaliser un documentaire sur le Hotter Than July tour, la tournée la plus longue,du chanteur.
Un documentaire rare sur la vie du chanteur.
Libellés :
video
29/05/2011
27/05/2011
Standing in the Shadows of Motown
Detroit 1959,
Berry Gordy Fonde la Maison de disques Tamla Motown.
Pour accompagner les stars prodigieuses du label, Marvin Gaye, The Temptations, The Four Tops, The Supremes et beaucoup d'autres, il choisit méticuleusement dans les clubs de jazz la crème des musiciens de la ville.
Ces musiciens surdoués -qui s'appelaleint entre eux The Funk Brothers-vont associer leurs talents à plus de hits que les Beatles, les Rolling Stones, les Beach Boys et Elvis réunis.
Ce film est leur histoire.
Libellés :
Vidéo
26/05/2011
Laura Vane & The Vipertones
Dans l'univers Soul Revival il y a les anglais et ....les anglais.
Désormais champion à dénicher les talents cachés, voici qu'arrive tous droit sortis du label Unique Records, la belle et blonde Laura Vane accompagné de The Vipertones.
Une belle surprise dans ce monde ou les studios ont du mal à ne pas transformer la voix de leurs artistes à coup d'effets, car en effet la belle anglaise tiens bien la route et nous délivre une belle prestation vocale.
Une jolie Soul bien rétro avec une pointe de Pop(the British touch), agréable et très bien mixée, voila ce qui vous attends, si vous plongez vos oreilles sur l'album de Laura Vane & The Vipertones.
The Vipertones quand à eux sont au top de leurs réputation,du bon et même du très bon son...
Laura Vane & The Vipertones site officiel et myspace:
http://www.lauravaneandthevipertones.com/
http://www.myspace.com/lauravaneandthevipertonesDésormais champion à dénicher les talents cachés, voici qu'arrive tous droit sortis du label Unique Records, la belle et blonde Laura Vane accompagné de The Vipertones.
Une belle surprise dans ce monde ou les studios ont du mal à ne pas transformer la voix de leurs artistes à coup d'effets, car en effet la belle anglaise tiens bien la route et nous délivre une belle prestation vocale.
Une jolie Soul bien rétro avec une pointe de Pop(the British touch), agréable et très bien mixée, voila ce qui vous attends, si vous plongez vos oreilles sur l'album de Laura Vane & The Vipertones.
The Vipertones quand à eux sont au top de leurs réputation,du bon et même du très bon son...
Laura Vane & The Vipertones site officiel et myspace:
http://www.lauravaneandthevipertones.com/
Sur le site Web officiel, on peut entendre leur dernier album Sugar Fix sortis en 2011.
En attendant je vous propose d'écouter:
25/05/2011
This is Gizelle Smith & The Mighty Mocambos
This is Gizelle Smith & The Mighty Mocambos est l'association de l'anglaise Gizelle Smith et de l'incroyable ensemble d'Hambourg The Mighty Mocambos.
Que dire de l'ensemble, une énergie constante, un son Deep Funk qui envoie et c'est hyper efficace!!!
Gizelle Smith nous offre une voix présente et énergique, la miss envoie du lourd et peut largement s'aligner avec les grandes voix de la soul ou du funk.
Cet album est un vrai bol d'air frais et change de la soupe synthétique préfabriquée que l'on peut entendre à la radio ou voir à la télé.
Âpres un très gros succès dans le nord de l’Europe
Gizelle Smith & The Mighty Mocambos arrive en France en 2010
pour diffuser son groove délicieusement pimenté au funk énergique.
A écouter d'urgence car les albums de qualité sont rare....
Inscription à :
Articles (Atom)